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femme cache yeux

Ne jouer pas à cache cache avec votre entreprise, prenez les choses en main et acceptez d’être aidée !

 

 

Si c’est votre cas, que vous avez honte de demander de l’aide, ou si vous ne voyez pas en quoi cela va vous aider cet article est pour vous !

Trop souvent vous me faites savoir combien il est dur pour vous d’avouer que vous ne parvenez pas vos fins ..
Trop souvent vous me faites comprendre combien il est dur pour vous d’admettre que vous ne réussirez pas à résoudre votre problème pour trouver de nouvelles clientes, ou pour mettre en place des animations qui fonctionnent.
En fait ce qui est compliqué pour vous c’est que cela se passe autrement que tout ce que vous aviez imaginé, soit parce que la réalité est vraiment autre, soit parce que vous avez dès le départ sous-estimé les éventuelles difficultés vous privant de la possibilité d’y réfléchir pour pouvoir y faire face efficacement.
Lorsque j’ai ouvert mon institut de beauté en 2003, je me suis trouvée confronté à beaucoup de difficultés qui ont été les mêmes que les vôtres, puisque ne nous  leurrons pas, nous rencontrons souvent les mêmes problèmes…
Cependant j’avais prévu la majeure partie de ces difficultés en préparrant toutes les éventualités possibles et les solutions que je pourrais envisager pour m’en sortir.

Je m’explique, lorsque j’ai ouvert mon institut de beauté, je suis partie de rien, ma première cliente a été une amie, je savais que ce serait difficile, je savais qu’il fallait trois années pour que la confiance s’installe et que le bouche-à-oreille (le vrai celui qui vous fait avancer) fonctionne. J’avais prévu que durant trois ans je n’aurais aucun salaire, ce qui fait que quand j’en ai eu relativement rapidement, ça a été du BONUS !
J’avais prévu qu’étant en étage je ne serais pas aussi visible qu’en pleine rue commerçante au rez de chaussée, mon budget pub a été conséquent pour les deux premières années et compris dans mon business plan.
Je savais que j’aurais à prouver mon travail, ma rigueur, ma fiabilité, j’ai communiqué exclusivement sur cela, et j’ai invité des personnes influentes pour m’aider à me faire connaître rapidement.
Quand je vous vois vous lancer sans avoir mesuré l’importance de telles conditions de travail, et sachant à quel point de nos jours la clientèle est exigeante et le marché saturé, je en peux m’empêcher de penser que vous n’êtes pas prête !

Lorsque vous me téléphonez ou qu’e l’on échange par mail je comprends à quel point vous avez la tête dans le guidon et à quel point vous ne voyez plus les opportunités qui s’offrent à vous. Et c’est NORMAL !
Vous ne prenez pas de recul, vous ne réfléchissez jamais à ces fameuses questions :
« ou en serais-je l’année prochaine »
« Comment sera mon institut dans 5 ans »
« la façon dont je travaille aujourd’hui me convient-elle ? »
« Est-ce comme cela que j’ai envie d’être perçue par mes clientes cette image de moi correspond-elle aux messages que j’envoie »
D’ailleurs on devrait se poser beaucoup de questions avant de commencer à monter son projet, on devrait s’en poser au moins une fois par semaine tout au long de sa carrière, ne jamais se poser de questions c’est s’endormir, c’est ne pas voir venir la concurrence, ne pas sentir le vent tourner…
Cela se vérifie dans mes conseils personnalisés l’un des premiers exercices que je vous demande c’est décortiquer votre façon de travailler ce que vous faites, comment vous les faites, pourquoi vous le faites, et très souvent vous commencer vous-même grâce à mes questions ciblées à comprendre un certain nombre de choses…
On met le doigt ensemble là où ça fait mal !

C’est grave Docteur ?

Plus maintenant non, à partir du moment où l’on sait qu’il y a un problème, que l’on a réussi à l’admettre, et que l’on consent à demander de l’aide (VRAIMENT), alors on a déjà fait la moitié du chemin !
Si l’on vivait au pays des bisounours, je vous dirais que tout vas bien, que vous aurez du travail sans rien faire ou presque, je vous accompagnerais gratuitement dans la réalisation de vos idées et dans vos démarches.
Oui mais voilà ce n’est pas le cas, la concurrence est de plus en plus présente, la clientèle est exigeante et je vous accompagne moyennant une somme qui fait mon salaire et qui vous engage à donner vos capacités maximum dans l’obtention des résultats recherchés.
On peut le constater partout dans de nombreuses situations d’ailleurs, lorsque c’est gratuit où offert peu importe le nom que l’on donne, l’implication n’est pas le même, si l’on ne parvient pas au résultat final ce n’est pas si grave…
Cela vaut pour VOUS mais aussi pour MOI, si vous ne me devez rien (0€), si je ne vous suis qu’a moitié, ou que je  vous donne des conseils de bric et de broc, ce n’est pas si grave en fin de compte, puisque vous n’avez rien payer…
L’engagement pécunier et aussi un contrat que vous signez avec vous-même, vous vous engager à réussir ce que vous êtes venue chercher, avec mes services, ou avec mes conseils, vous avez pris conscience du problème et vous admettez qu’il vous faut de l’aide et pour cela vous savez et vous comprenez qu’il vous faudra payer quelque chose pour l’obtenir, puisque vous n’y parvenez pas seule pour le moment car vous n’avez pas encore le déclic de la bonne technique.
Vous devez  juger la valeur qu’a votre réussite, quelle somme vous êtes prête à placer dans le projet pour voir vos difficultés diminuer, et voir enfin le soleil derrière les nuages.

Le coaching ou l’accompagnement c’est par exemple 789 euros pour un an de suivi soit 65.75€/mois, soit 2.19€/jour, soit une viennoiserie par jour !

Ne culpabilisez pas si vous ne parvenez pas à faire quelque chose pour votre entreprise ou si vous ne comprenez pas pourquoi ce que vous avez mis en place ne fonctionne pas.
Demandez  de l’aide c’est passer momentanément le « bébé »à quelqu’un d’autre, quelqu’un de neutre, qui est passé par là et qui a l’expérience nécessaire de regarder les choses avec un œil différent, neuf et sans jugement.

Renseignements ici

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